Click, madafaka.

Où en êtions nous la dernière fois? ... Ah! Oui!

Cette troisième et dernière partie s'achève. J'espère que ce petit reportage très perso vous aura plu.
Faîtes moi part de vos avis sur cette façon de relater des évènements, si divisé en plusieurs parties est préférable que tout poster dans un seul article. ça m'intéresse.

En attendant le prochain article, je vous bécote à qui mieux mieux.

Pour les copains qui me suivent, je vous vois rouler des prunelles à la lisière de vos cils de paupières supérieures!
Si vous en avez par dessus la raie, je vous conseille donc de passer votre chemin.

Si par contre, vous ne me connaissez ni d'Eve ni d'Adam, si vous n'avez qu'entendu parler du groupe et diffusé les principales chansons qui ont fait leur succès, restez un peu, que je vous raconte ce que ça donne en live...

A suivre...

On commence bien avec des copains que j'avais pas vu depuis un plus ou moins long moment. (Coucou Marie, Nico, Rémi, Lucas et Thomas! )

J'ai écouté ces gens fort mignons qui aiment convulser dans leurs clips.
La voix du chanteur va vous scotcher! Vous n'avez pas entendu un truc pareil depuis Tom Waits, je vous jure.
Le contraste des deux voix est aussi contrasté que bien assorti.
Je vous laisse écouter trois sons que j'aime beaucoup ...
Vous m'en direz des nouvelles.

Pour ce qui est des vidéastes, je voulais vous parler de deux pépites:
La première est Margot de la chaîne "Vivre avec".
Chaîne qu'elle a d'abord fondé pour parler du Syndrome d'Ehlers Danlos dont elle est atteinte, puis pour parler d'handicap en général ainsi que de militantisme - elle parle notamment, sans culpabiliser, de notre société validiste et de sa fâcheuse tendance à se réjouir du peu de lieux accessibles aux personnes à mobilité réduite - , de vie pratique et (d'un peu) de sexualité.

Si ce petit bout de meuf ne vous dit rien, je vous invite à suivre ce lien!

La seconde chaîne que j'ai découvert au début du mois est celle de Nadjélika, qui se nomme sobrement : "Nadjélika".
Cette femme vous fera autant hurler de rire que relativiser sur la gravité accordée à certains sujets.
Les jaloux diront qu'elle raconte sa vie (sa chaîne contient essentiellement des storytimes où elle n'a pas sa langue dans sa poche). Les vrais diront qu'elle nous confie ses expériences et les leçons qu'elle a pu en tirer.
Dernièrement, elle a fait part de son avis sur l'affaire Weinstein et sur les migrants réduits en esclavage en Lybie. Ils m'ont tirés autant de larmes de rire que de peine et pour réussir à faire ressentir autant de choses en si peu de temps, il faut être doué.

Pour suivre Nadjé, c'est par ici.

Je vais tâcher de reprendre un petit rythme, ici. Si vous avez des suggestions, des idées d'article, je prends.

En attendant je vous fais des bécots dans le dos
et je vous dis à très bientôt!